14octobre 2019 - by Nadia Konaté. Ce qui distingue également l’homme des autres créatures, c’est « al-amâna » que Dieu lui confie. Ce vocable revêt divers sens dans le Coran. Nous le retrouvons utilisé au singulier à propos du document écrit relatif aux dettes contractées (S.2, 283). « Al-amânât » (les dépôts) revient CommunesLe fil info Vidéos Partager Accueil Sports Sports Aisne Tour de France Femmes. «À nous de montrer que c’est comme les hommes», confie l’Axonaise Victoire Berteau. L’Axonaise Enconfiant la gestion de la crise actuelle aux ministres de la Défense et de l’Intérieur, le gouvernement a déplacé le débat sur le terrain sécuritaire. Or, en mettant en place des brigades mixtes, il a accordé aux écogardes des prérogatives reconnues aux gendarmes et policiers. Et tant pis si leur statut juridique fait débat ! Cest pourquoi, en prêchant la libération et en s’associant à ceux qui oeuvrent et souffrent pour elle, l’Eglise — sans accepter de circonscrire sa mission au seul domaine du religieux, en se désintéressant des problèmes temporels de l’homme — réaffirme la primauté de sa vocation spirituelle, elle refuse de remplacer l’annonce du Règne par la proclamation des Malheurà l'homme qui se confie en l'homme. ४१ views, २ likes, ० loves, ० comments, ० shares, Facebook Watch Videos from Ki sa la Bib di?: Malheur à l'homme qui se confie en l'homme Ellelui confie alors ce qui se passe et la demande que l'agresseur de Samuel lui a faite. Le jeune homme lui conseille d'en parler à la police mais elle refuse et exige de lui son silence. Juste . La Fin de l’homme rouge ou le Temps du désenchantement est le dernier ouvrage traduit en français de Svetlana Alexievitch, prix Nobel de littérature depuis le 8 octobre dernier. L’auteure, journaliste de formation, y réunit une centaine de témoignages bouleversants, dressant le portrait d’un pays qui n’en est plus un l’URSS. Staline meurt en 1953. À partir du milieu des années 80, Gorbatchev reconstruit » perestroïka socialement et économiquement le pays, qui se dissout en 1991 sous Eltsine. Ce sont ensuite les deux guerres de Tchétchénie, puis l’arrivée au pouvoir de Medvedev 2000 et de Poutine 2008. Ces quelques dates signalent à elles seules la profonde rupture qui s’est produite en Europe de l’Est. Aujourd’hui, l’idéal russe n’est plus la Patrie. Les souvenirs glorieux ou terribles du communisme sont étouffés par le pouvoir de l’argent. Seuls comptent l’enrichissement et la réussite l’homme capitalisme a détrôné l’homme soviétique. La clairière, Alberto Giacometti, 1950. La consolation par l’Apocalypse et la fascination du vide C’est ce que cherchent à démontrer les deux parties de La Fin de l’homme rouge, La consolation par l’Apocalypse et La fascination du vide. Svetlana Alexievitch, munie de son magnétophone, recueille les histoires d’individus épars, qu’elle nomme ses héros ordinaires ». Une mère fait part de ses doutes quant à la mort de sa fille en Tchétchénie. Une femme abandonne mari et enfants pour un meurtrier, condamné à l’emprisonnement à vie. L’une des victimes de l’attentat du 6 février 2004 dans le métro de Moscou se confie… Leurs parcours, leurs opinions, leurs mémoires divergent radicalement. Cependant, de cette multitude déformée, faussée par la censure, la peur et les menaces, se dégage une vérité celle de la force de l’âme russe. À ce peuple à la vie démesurée, faite d’excès, de sacrifices et de grandeurs, la liberté et le bonheur semblent inaccessibles. L’histoire de la Russie n’est qu’une longue suite de tragédies, dans lesquelles l’amour se mêle à la mort, le suicide à l’euphorie, l’atrocité à la beauté. Ses récits sont parcourus de portes blindées, de meurtres, de vodka. De camps et de guerre. De rouge et de blanc. La littérature y occupe également une place majeure elle se fond dans la vie de chacun de ses habitants. Les noms de Dostoïevski, de Pasternak ou de Chalamov reviennent sans cesse, telles des incantations. L’intime s’est noyé dans l’Histoire de l’État. À présent que sa splendeur et ses dangers ne sont plus, l’existence a perdu son sens. Car vivre pour soi, sans but ni ampleur, est impossible en Russie. Classifier l’œuvre de Svetlana Alexievitch n’est pas simple. La Fin de l’homme rouge, est-ce un reportage appliqué, un recueil authentique, un essai foisonnant ? Son ancrage résolument politique est essentiel ici et maintenant. Quant à sa portée littéraire, si certains ont pu en douter, qu’ils lisent le livre. Il suffit parfois d’observer et d’écouter pour que la vie, la vie toute simple, se transforme en littérature ». Extrait de l’avant-propos J’ai cherché ceux qui avaient totalement adhéré à l’idéal, qui l’avaient si bien intégré qu’il était impossible de le leur arracher l’État était devenu leur univers, il leur tenait lieu de tout, il remplaçait même leur propre vie. Ils n’ont pas été capables de quitter la grande Histoire, de lui dire adieu, d’être heureux autrement. De plonger la tête la première… et de se perdre dans une existence privée, comme cela se passe aujourd’hui, à présent que ce qui était petit est devenu grand. Les gens ont envie de vivre, tout simplement, sans idéal sublime. C’est une chose qui ne s’était jamais produite en Russie, et on ne trouve pas cela non plus dans la littérature russe. Au fond, nous sommes des guerriers. Soit nous étions en guerre, soit nous nous préparions à le faire. Nous n’avons jamais vécu autrement. C’est de là que vient notre psychologie de militaires. Même en temps de paix, tout était comme à la guerre. On battait le tambour, on déployait le drapeau… Nos cœurs bondissaient dans nos poitrines… Les gens ne se rendaient pas compte de leur esclavage et même, ils l’aimaient, cet esclavage. … Nous avions tous une seule et même mémoire communiste. Nous sommes des voisins de mémoire. » La Fin de l’homme rouge ou le Temps du désenchantement, Svetlana Alexievitch, traduit du russe par Sophie Benech, Actes Sud, collection Lettres Russes, 2013. Les situations difficiles de la vie sont multiples et complexes. Souvent, devant certaines épreuves, nous nous sentons submergés émotionnellement, psychologiquement ou même physiquement. La nature humaine recherche dans ces moments-là la compréhension, l’accompagnement, l’écoute et l’aide de ses semblables. Il est vrai que nous pouvons trouver des personnes autour de nous à qui nous confier dans ces moments, mais nous devons apprendre à nous confier d’abord en notre Père céleste. Sache reconnaître à qui te confier. Jérémie 17 5 LSG Ainsi parle l’Éternel Maudit soit l’homme qui se confie dans l’homme, qui prend la chair pour son appui, et qui détourne son cœur de l’Éternel ! » Je pense que les écritures sont plus qu’explicites à ce sujet. La Bible nous avertit à plusieurs reprises des risques qu’on encourt à se confier en l’homme; pourtant faut-il être aussi drastique ? N’y a-t-il pas des hommes de Dieu remplis de sagesse, de discernement et de bienveillance pour nous écouter et nous conseiller avec objectivité ? Oui il y en a ! Et bien heureusement ! Sache reconnaître ceux qui t’écoutent avec amour et sans jugement; ces personnes qui sont d’une justesse et d’une sagesse exemplaires. Ces personnes qui ne s’appuient pas sur leur savoir ou leur orgueil pour te conseiller mais sur la voix de l’Esprit Saint et la Parole de notre Père, sur une spiritualité et un amour inconditionnel. Cependant, connaissons nos limites et restons prudents avec ceux en qui nous nous confions, pour éviter déception et trahison. Nous ne savons jamais à quel moment notre prochain peut causer notre perte. Psaumes 41 10 LSG Celui-là même avec qui j’étais en paix, qui avait ma confiance et qui mangeait mon pain, lève le talon contre moi. » C’est pour cela que nous devons nous souvenir que le seul qui ne faiblit pas, ne nous abandonne pas et ne nous trahit pas, est notre Père. N’oublions pas que quoi qu’il en soit, les réponses, la délivrance ou la guérison que nous recherchons, seul Dieu peut nous l’apporter. Psaumes 146 3 LSG Ne vous confiez pas aux grands, aux fils de l’homme, qui ne peuvent sauver. » Confie-toi d’abord en Dieu ! Psaumes 118 8 LSG Mieux vaut chercher un refuge en l’Éternel Que de se confier à l’homme. » Sans aucun doute et dans la continuité du premier paragraphe, je vous dirais sans hésitation que Dieu doit être notre premier et seul si possible confident. Il n’y a pas de déception possible, d’erreur possible ou autres inconvénients en confiant nos souffrances, nos craintes, nos questionnements à Celui qui nous connaît et qui nous rappelle dans Jérémie 15 LSG avant même que Je t’eusse formé dans le ventre de ta mère, Je te connaissais [ …] ». Nous avons à portée de main, le meilleur des confidents. L’homme est versatile, changeant et instable. Dieu, Lui, ne l’est pas. Se confier à quelqu’un qui arbore les mêmes faiblesses et les mêmes péchés que nous, peut être d’un réconfort lorsque l’on se sent seul et incompris dans une épreuve et nous recherchons la compréhension à travers la similitude des épreuves; mais il y a des réponses et des solutions que l’homme ne peut pas nous apporter. Il n’y a pas mieux que Dieu pour nous orienter lorsque notre esprit est troublé et que nous recherchons des réponses adaptées à notre situation. En nous confiant en Dieu, nous trouverons la correction et la protection d’un père, l’amour et l’objectivité d’un frère, la compassion et la sagesse d’un ami pour évoluer de la meilleure des façons. Psaumes 40 2 LSG J’avais mis en l’Éternel mon espérance; et Il s’est incliné vers moi, Il a écouté mes cris. » Bonjour Bien aimée, En faisant paître le troupeau de son beau-père Jéthro, Moïse s’est retrouvé face à un buisson ardent qui ne se consumait point Exode 3 1-4. Ce feu ne tirait donc pas sa force, sa vie des branches ou du bois du buisson mais plutôt de Dieu. Les adolescents se fatiguent et se lassent et les jeunes hommes chancellent », dit la Bible dans Esaïe 40 30. Ce passage ne parle pas des personnes du troisième âge mais de jeunes gens censés avoir de la vigueur. Pourquoi se fatiguent-ils et chancellent-ils alors ? Parce qu’ils comptent sur leur jeunesse pour se prétendre forts. Mais cette jeunesse sur laquelle ils s’appuient finit par les trahir. Le feu de leur buisson ardent tire sa force d’un bois qui se consume ! Sur quoi ou sur qui t’appuies-tu, Bien-aimé e ? Comptes-tu sur ton intelligence, tes diplômes, ton expérience ou sur tes relations pour décrocher cet emploi que tu recherches tant ? T’appuies-tu sur ton compte en banque pour relever ce défi financier qui se dresse devant toi ? T’appuies-tu sur ta beauté et ton charme pour trouver un conjoint ? Te fies-tu à ton âge avant la ménopause pour avoir un enfant ? T’appuies-tu ta vie de prière assidue pour maintenir ton zèle pour l’œuvre de Dieu ? Comptes-tu sur la situation sociale élevée de certains fidèles de ton église pour organiser cette croisade d’évangélisation ? Comptes-tu sur ton onction et ton expérience dans le ministère pour faire marcher ce paralytique ? Que ferais-tu si tous ces appuis disparaissaient à cause des circonstances ou des coups de la vie ? Tu perdrais toute force ! Le bois qui alimente les flammes de ton buisson ardent se consumerait et ton feu s’éteindrait ! Mais ceux qui se confient en l’Éternel renouvellent leur force. Ils prennent le vol comme les aigles; ils courent, et ne se lassent point, ils marchent, et ne se fatiguent point », affirme la Parole de Dieu dans Esaïe 40 31. Oui, Bien-aimée, seuls ceux qui prennent appui sur le Seigneur peuvent courir sans se lasser, marcher sans se fatiguer, maintenir leur feu allumé. Abraham, avait espéré, durant sa jeunesse, avoir un enfant avec Sarah son épouse, en vain ! Lorsque dans sa vieillesse, Dieu lui annonça qu’il allait avoir un héritier, il comprit que Sara et lui ne pouvaient s’appuyer que sur le Seigneur pour avoir la force d’engendrer un fils. Et sans faiblir dans la foi, il ne considéra point que son corps était déjà usé, puisqu’il avait près de cent ans, et que Sara n’était plus en état d’avoir des enfants », souligne la Bible dans Romains 4 19. Abraham crut en Dieu, s’appuya sur Lui et il vit la gloire de Dieu. Alors, Bien-aimée, demande au Père de te sonder et examine tes appuis. Malheur à ceux qui descendent en Egypte pour avoir du secours, qui s’appuient sur des chevaux, et se fient à la multitude des chars et à la force des cavaliers, mais qui ne regardent pas vers le Saint d’Israël et ne recherchent pas l’Eternel!», est-il écrit dans Esaïe 311. Si tu t’es appuyée sur autre chose ou sur une personne autre que ton Père céleste, repens-toi et rectifie ta conduite. Appuie-toi uniquement sur ton Père céleste, compte uniquement sur Lui, fie-toi entièrement à Lui. Que Dieu soit la source de ta force ! Que Dieu soit la source de ta flamme ! Ainsi, tu retrouveras et garderas la force qu’il te faut pour obtenir la victoire sur ce défi auquel tu fais face. Tu conserveras alors ton zèle pour l’œuvre de Dieu, pour continuer à faire le bien et le feu de ton buisson ardent ne s’éteindra pas ! Que Dieu te bénisse Bien aimée Pasteur Mohammed A-t-il été crée l’homme pour souffrir? Le but de notre existence est-il celui d’être malheureux ? Vous le savez comme moi-même que la réponse est non! L’homme a été crée pour vivre une vie de bonheur et il a été crée pour vivre éternellement. Quand l’homme a compris qu’il est malheureux et que sa vie n’est pas celle pour laquelle il a été crée ? Alors qu’est ce que s’est passé ? Pour quoi l’homme ne peut pas accomplir le projet de son création? Pourquoi le bonheur n’est plus une actualité quotidienne? Et comment et quand a-t-il compris qu’il est malheureux ? Comment a-t-il fait la différence entre bonheur et malheur? Quels ont-été ses repères pour comprendre ? Ouvrons donc une petite fenêtre pour mieux comprendre quel a été le moment de l’apparition de la souffrance , de la douleur dans la vie humaine. Bonheur ou malheur? Au moment de la création l’homme ne connaissait pas la souffrance, mais il ne savait pas non plus que ce qu’il vit c’est le bonheur. Il vivait une réalité qui lui était donné. Il se réjouissait de ce qu’il avait, il était content de sa vie, de sa normalité. Il ne pouvait pas comparer sa vie avec aucune d’autre, il ne savait pas se plaindre. Comment a été brisé ce paradis ? Pourquoi le bonheur a pu être comparé avec une nouvelle réalité ? Et quand l’homme a pu connaître cette nouvelle réalité? Un paradis brisé ou le désir d’un inconnu? La nature humaine est dotée des plusieurs vertus, et la curiosité peut être une d’entre elles. Mais quand la curiosité vient d’un désir de connaître un mal qui tu sais qu’il peut te détruire , manifesterons-nous toujours notre curiosité? Nous connaissons l’histoire de la création et de la chute de l’homme au paradis. Qu’est ce que s’est vraiment passé? Nous passons le sujet de la création en le laissant pour un autre article, mais on va parler en passage de la chute de l’homme. Et pourquoi donc? Parce que lié à la chute est l’apprentissage que la souffrance est arrivé dans un monde baignée de bonheur! La chute de l’homme au paradis Qu’est ce que la chute? Et pourquoi on l’appelle la chute? Action de tomber, de perdre l’équilibre, d’être entraîné vers le sol faire une de se détacher de son support naturel chute des feuilles. Échec, insuccès d’une œuvre. Si nous prenons ces 3 lignes de la definition qui nous offre le Larousse, nous voyons que la chute c’est une réalité qui peut être aussi une normalité chute des feuilles » dans l’automne. Mais une action de tomber à cause d’une perte d’équilibre c’est une anormalité . Comme anormal peut sembler avoir un échec. La chute de l’homme a été une normalité ou plutôt une anormalité? Je le prends comme un échec . Un échec de son propre accomplissement, une negation de la réalité parfaite dans laquelle il vivait pour désirer une autre proposé mais sur laquelle il ne savait rien. Pourquoi l’avait-il choisi? Une curiosité, le désir d’un inconnu? Comment a-t-il compris et comment a-t-il réagit ? L’homme est ce qu’il pense sans aucun doute ! Mais la question est comment peut-il avoir le discernement sur ce qu’il pense ? Est-il toujours maître de ses pensées ? Il y a une chute de l’homme ! Surement on se pose la question qu’est ce que cette chute ? Je crois fermement que c’est un échec de l’accomplissement de soi même, une négation de projet de bonheur qui lui a été confié ! Et pourquoi aurait-il refusé ? Et surtout quand a-t-il compris sa chute ? Quand il a connu la douleur! Ainsi les mots souffrir, souffrance ont bien entrés dans son vocabulaire. A partir de ce moment la douleur de l’abandon, la douleur causée par son immense tristesse lui a fait connaître ce que veut dire avoir ou non le bonheur. Maintenant il savait faire une différence, il avait appris avoir de regrets. Son immense douleur ne pouvait pas être guéri et le psychosomatique a joué son rôle, les douleurs physique sont vite apparus. Comment a-t-il réagit ? Imaginez-vous dans une chambre, vivre entouré des personnes ou des choses que vous aimez beaucoup quand, soudainement, vous êtes arraché à tout ça pour être transférer dans un endroit qui ne vous offre aucun confort et qui est même hostile! Pourriez-vous continuer d’être heureux? Vous vous sentiriez blessé, mal dans votre coeur et déchiré par des ressentis différents. Au début vous pleurez, après vous hurlez et fatigués finalement vous essaierez de trouver des solutions. C’est dans notre nature et la plupart d’entre nous réagissons comme ça. Et l’homme a toujours su puiser dans sa force intérieure pour trouver de remèdes tout au longue de l’histoire de l’humanité. Ainsi se développé dès la nuit de temps, une médecine appelé aujourd’hui médecine douce avec des méthode de guérison et des soins avec ce que la nature lui a toujours offert avec générosité. L’homme a pris ainsi la douleur comme repère pour comprendre qu’il ne va pas bien! C’est la douleur qui lui a appris de trouver des moyens pour retrouver son bonheur. La douleur nous veut de bien -définition, types et causes de douleurs, » voila le sujet de l’article prochain que nous vous invitons lire pour mieux vous aider dans votre quotidien! http// L’homme maître de l’homme L’HISTOIRE confirme la véracité d’Ecclésiaste 89, qui déclare “ L’homme a dominé l’homme à son détriment. ” Ou selon les termes de la Bible de Jérusalem, une version catholique, “ l’homme est maître de l’homme, pour son malheur ”. Des millions de personnes ont été victimes d’injustices, et il en a été ainsi sous presque tous les régimes politiques que l’homme a expérimentés. Cette souffrance a été rappelée dans un discours prononcé par le sous-secrétaire aux Affaires indiennes, du ministère américain de l’Intérieur, lors du 175e anniversaire de la création du Bureau des affaires indiennes. Il a déclaré qu’il ne s’agissait pas d’une fête, mais d’“ une occasion de parler de tristes vérités, une occasion de se repentir ”. Il a admis que la principale mission de cette institution, dans les années 1830, était de chasser de leurs terres les tribus du sud-est les Cherokees, les Creeks, les Choctaws, les Chickasaws et les Séminoles. “ Par la menace, la tromperie et la force, ces grandes tribus ont été contraintes à effectuer une marche de 1 600 kilomètres en direction de l’ouest, en abandonnant des milliers de leurs vieillards, de leurs enfants et de leurs infirmes dans des tombes creusées à la hâte le long de la Piste des larmes. ” Il a poursuivi “ À notre époque plus éclairée, il faut cependant reconnaître que la propagation volontaire de maladies, l’extermination des troupeaux de bisons, le recours à l’alcool pour empoisonner l’esprit et le corps, et le massacre lâche de femmes et d’enfants ont abouti à une tragédie si épouvantable qu’on ne peut simplement la considérer comme la conséquence inévitable du choc de modes de vie rivaux*. ” Il a avoué “ Ce bureau cherchait à supprimer tout ce qui avait trait aux Indiens. Ce bureau interdisait de parler les langues indiennes [...] et il voulait que les Indiens aient honte de ce qu’ils étaient. Le pire, c’est que le Bureau des affaires indiennes commettait ces actes à l’encontre des enfants qui étaient confiés à ses pensionnats ; il les brutalisait affectivement, psychologiquement, physiquement et spirituellement. ” Il a conclu par ces mots “ Commençons par exprimer notre profond chagrin pour ce que cet organisme a fait par le passé. [...] Jamais plus nous ne participerons au vol des biens des Indiens. [...] Jamais plus nous ne nous en prendrons à vos religions, à vos langues, à vos rites ou à la moindre de vos coutumes tribales. ” Il a ajouté enfin “ Ensemble, nous devons essuyer les larmes de sept générations. Ensemble, nous devons panser nos cœurs brisés. ” — Vital Speeches of the Day, 1er octobre 2000. L’unique solution véritable et durable à la cruauté de l’homme envers l’homme est le Royaume de Dieu, qui rétablira la justice pour tous et qui “ essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus ; ni deuil, ni cri, ni douleur ne seront plus. Les choses anciennes ont disparu ”. — Révélation 213, 4. [Note] L’histoire des Indiens d’Amérique démontre que les tribus étaient souvent en conflit ; les querelles “ pour des territoires, des chevaux et des bisons étaient constantes ”. — Les Apaches angl.. [Crédits photographiques, page 31] Indien d’après une photo d’Edward S. Curtis ; carte Mountain High Maps Copyright © 1997 Digital Wisdom, Inc. ; tentes indiennes Leslie’s

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