Çacommence à l’école : Brisons le silence et agissons! Lors de la clôture du Grenelle 2019 sur les violences conjugales, Édouard Philippe et Marlène Schiappa ont déclaré que la formation initiale et continue des personnelles l’égalité filles/garçons “sera rendue obligatoire”. ON ATTEND TOUJOURS !
Tentends à chaque fois que tu respires. Comme un bout de tissu qui se déchire. Et ça continue encore et encore. C'est que le début d'accord, d'accord. L'instant d'après le vent se déchaîne. Les heures s'allongent comme des semaines. Tu te retrouves seule assise par terre. À bondir à chaque bruit de portière.
Encore encore Continue comme ça Le snap shot est l'une des meilleures armes défensives des dernières années et l'exercice des push-ups est un élément essentiel à sa réussite. Commence avec la rondelle à la pointe de la palette, fais-la ensuite rouler un peu le long de ta palette. Puis rapproche le bâton du corps. Enfin, appuies sur le manche avec la main qui guide le bâton, et
StreamEncore et encore by Jenifer from desktop or your mobile device Vanessa Paradis. Jenifer – Encore et encore. Listen to Encore et encore by Jenifer. Nos souvenirs me reviennent. artist: "Jenifer", }; in the middle of this world coming ablaze. Encore Et Encore is the new single from Jenifer taken from the album 'Nouvelle Page' published on Wednesday 2 December 2020.
Paroles de "Ça ira et j'passe la nuit dehors La vie continue, donc, on sourit encore Laisse faire le temps, ça ira [Couplet 2] Dans l'creux de ma main, j'n'ai que mon cœur et mon destin J
Paroles D'abord vos corps qui se séparent T'es seule dans la lumière des phares T'entends à chaque fois que tu respires Comme un bout de tissu qui se déchire Et ça continue encore et encore C'est que le début d'accord, d'accord L'instant d'après le vent se déchaîne Les heures s'allongent comme des semaines Tu te retrouves seule assise par terre
. D'abord vos corps qui se séparent T'es seule dans la lumière des phares T'entends à chaque fois que tu respires Comme un bout de tissu qui se déchire Et ça continue encore et encore C'est que le début d'accord, d'accord... L'instant d'après le vent se déchaîne Les heures s'allongent comme des semaines Tu te retrouves seule assise par terre À bondir à chaque bruit de portière Et ça continue encore et encore C'est que le début d'accord, d'accord... Quelque chose vient de tomber Sur les lames de ton plancher C'est toujours le même film qui passe T'es toute seule au fond de l'espace T'as personne devant... La même nuit que la nuit d'avant Les mêmes endroits deux fois trop grands T'avances comme dans des couloirs Tu t'arranges pour éviter les miroirs Mais ça continue encore et encore C'est que le début d'accord, d'accord... Quelque chose vient de tomber Sur les lames de ton plancher C'est toujours le même film qui passe T'es toute seule au fond de l'espace T'as personne devant...personne... Faudrait que t'arrives à en parler au passé Faudrait que t'arrives à ne plus penser à ça Faudrait que tu l'oublies à longueur de journée Dis-toi qu'il est de l'autre côté du pôle Dis-toi surtout qu'il ne reviendra pas Et ça fait marrer les oiseaux qui s'envolent Les oiseaux qui s'envolent Les oiseaux qui s'envolent Tu comptes les chances qu'il te reste Un peu de son parfum sur ta veste Tu avais dû confondre les lumières D'une étoile et d'un réverbère Mais ça continue encore et encore C'est que le début d'accord, d'accord... Y a des couples qui se défont Sur les lames de ton plafond C'est toujours le même film qui passe T'es toute seule au fond de l'espace T'as personne devant...personne Quelque chose vient de tomber Sur les lames de ton plancher C'est toujours le même film qui passe T'es toute seule au fond de l'espace T'as personne devant...personne... Y a des couples qui se défont C'est toujours le même film qui passe Le même film qui passe Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique SEAM
alpha F artiste France Gall titre Encore et encore Les paroles de la chanson Encore et encore »France Gall D’abord vos corps qui se séparentT’es seule dans la lumière des pharesT’entends à chaque fois que tu respiresComme un bout de tissu qui se déchireEt ça continue encore et encoreC’est que le début d’accord, d’accord...L’instant d’après le vent se déchaîneLes heures s’allongent comme des semainesTu te retrouves seule assise par terreÀ bondir à chaque bruit de portièreEt ça continue encore et encoreC’est que le début d’accord, d’accord...Quelque chose vient de tomberSur les lames de ton plancherC’est toujours le même film qui passeT’es toute seule au fond de l’espaceT’as personne devant...La même nuit que la nuit d’avantLes mêmes endroits deux fois trop grandsT’avances comme dans des couloirsTu t’arranges pour éviter les miroirsMais ça continue encore et encoreC’est que le début d’accord, d’accord...Quelque chose vient de tomberSur les lames de ton plancherC’est toujours le même film qui passeT’es toute seule au fond de l’espaceT’as personne devant...personne...Faudrait que t’arrives à en parler au passéFaudrait que t’arrives à ne plus penser à çaFaudrait que tu l’oublies à longueur de journéeDis-toi qu’il est de l’autre côté du pôleDis-toi surtout qu’il ne reviendra pasEt ça te fait marrer les oiseaux qui s’envolentLes oiseaux qui s’envolentLes oiseaux qui s’envolentTu comptes les chances qu’il te resteUn peu de son parfum sur ta vesteTu avais dû confondre les lumièresD’une étoile et d’un réverbèreMais ça continue encore et encoreC’est que le début d’accord, d’accord...Y a des couples qui se défontSur les lames de ton plafondC’est toujours le même film qui passeT’es toute seule au fond de l’espaceT’as personne devant...personneQuelque chose vient de tomberSur les lames de ton plancherC’est toujours le même film qui passeT’es toute seule au fond de l’espaceT’as personne devant...personne...Y a des couples qui se défontC’est toujours le même film qui passeLe même film qui passe
Les Républicains se réunissent en conseil national et la route est encore longue Seulement une vingtaine de personnes suivaient simultanément sur Internet la diffusion de cette réunion du "Parlement du parti". Capture d'écran compte Twitter Les Républicains Le premier conseil national des Républicains après l'élection de Christian Jacob présidé par la députée Annie Genevard Capture d'écran compte Twitter Les Républicains POLITIQUE - “On a voulu faire différent, pas de tunnels de discours, pas de huis clos, ouvert à la presse. On n’a pas à se cacher, aucune question n’est taboue.” Voilà comment Christian Jacob a conclu, ce samedi 30 novembre, le premier Conseil national -le parlement du parti- des Républicains depuis son élection à la tête du mouvement le 13 octobre dernier. Alors du coup, on a regardé. Comme environ une vingtaine de personnes sur Twitter, si l’on en croit les chiffres annoncés par la vidéo relayée par le compte officiel du mouvement. Parfois le pic est monté à une petite trentaine, d’autres fois, il est redescendu à une douzaine. Bref, il n’y avait pas foule pour observer la stratégie mise en place par le parti fondé par Nicolas Sarkozy pour rebondir après la double déroute de la présidentielle 2017 et des européennes 2019. Le HuffPost vous propose un résumé de cette réunion en quelques minutes choisies. 15h09. Seules 9 personnes sont connectées. Dans la salle, 400 personnes sont annoncées. Christian Jacob a voulu en finir avec les longs discours, il a parlé quelques minutes, comme d’autres responsables et va répondre aux questions des militants et des élus locaux présents et à celles qui sont posées par des militants à distance. 15h12. La question de l’union de la droite se pose. Une “vieille militante” regrette qu’Eric Tegnér, organisateur de la Convention de la droite avec Marion Maréchal soit exclu. L’intéressé a relayé la séquence. Proverbe japonais 15h15. “On apprend peu par la victoire, beaucoup par la défaite”, déclare Annie Genevard, s’appuyant sur un proverbe japonais. “On a suffisamment appris”, tente l’élue du Doubs avant de mobiliser par un dynamique “Vive la droite” sous quelques applaudissements. 15h20. C’est au tour du trésorier du parti de prendre la parole pour parler budget “de manière sympathique et séduisante”, comme le lui a conseillé Annie Genevard. Daniel Fasquelle espère “ne pas endormir” l’assistance après le déjeuner. Il annonce une bonne nouvelle “Nous sommes en excédent de euros”. Il explique “Les dons nationaux se sont bien maintenus, contrairement aux adhésions”. 15h30. Les douze travaux d’Hercule, enfin les douze chantiers thématiques sont présentés par les responsables du parti, dont Annie Genevard, la présidente du Conseil national, Guillaume Peltier, le numéro 2 du parti et Aurélien Pradié, le jeune député secrétaire national adjoint. Ils aboutiront à un grand “congrès des idées” au mois de juillet, promet Jacob. 15h36. “Les élections municipales, nous allons les gagner!”, prédit le président de la commission d’investiture, Éric Ciotti qui a bien tenu la consigne de ne parler que deux minutes. “Le dispositif est en carafe” 15h41. La parole est à la salle. Ça monte un peu sur l’écran, 31 spectateurs écoutent la question d’un adhérent qui se plaint. “Les fichiers ne fonctionnent plus”, déplore-t-il. 15h45. C’est Aurélien Pradié qui se charge de la réponse. “Oui ça ne fonctionne pas, le dispositif est en carafe, laissez-nous encore un petit peu de temps”. Nous sommes à 23 personnes sur le live, pas sûr qu’il ait beaucoup convaincu. 15h47. Une adhérente “C’est difficile d’expliquer à nos concitoyens que nous sommes de droite alors que beaucoup veulent rejoindre En Marche. On me dit mais c’est la même chose’. Il faut qu’on trouve un marqueur !”. 15h55. Christian Jacob évoque l’“humilité”. “On ne va pas chercher un slogan avec des communicants, je ne crois pas un instant à cela. Il faut avoir l’humilité. Quand on a perdu; on est humble, on ne dit pas c’est moi qui ai raison’, on a le courage de retourner sur le terrain”, propose le député de Seine-et-Marne, longtemps élu local. “Que faire des brebis égarées?” 15h50. Une question s’affiche à l’écran “Que faire des brebis égarées qui souhaitent revenir vers nous?” “C’est biblique”, remarque Annie Genevard, vite interrompue par Christian Jacob “On va remettre du foin dans le râtelier, ça va les faire revenir”, sourit l’agriculteur. Le patron du parti continue sur les symboles ”Passé les bornes, y’a plus de limites, c’est le paysan qui vous le dit”. Les bornes c’est les échéances électorales, précise-t-il. 15h52. Le délégué de la 8e circonscription de Seine-et-Marne fait part de ses souvenirs qui semblent lointains. “Il y a dix ou quinze ans, je regardais les Conseils nationaux à la télévision et aujourd’hui, j’ai la chance de pouvoir m’exprimer”. Il estime que “l’opposition et la presse nous tendent un piège pour nous assimiler au RN, restons la droite humaine !”. “Peut-on accepter des adhérents En Marche sur nos listes?” 15h54. Une autre question. ”Peut-on donner l’investiture et accepter sur nos listes des adhérents d’En Marche?” Jacob répond “Sur les listes, on va être clair, moi je fais partie de ceux qui n’ont jamais eu le drapeau dans la poche. Quand on investit un maire, c’est un pari de confiance, ce n’est pas en commission investiture qu’on compose une liste, c’est au maire de le faire. Il est pas interdit à nos maires d’être intelligents, mais ceux qu’on a soutenus et qu’on soutient on l’a fait en lien avec le local”. La dame qui a posé la question n’a pas compris, nous non plus. Elle insiste. Jacob précise “Bien sûr que sur le principe, c’est non, mais faut voir de qui tu parles, tu viendras m’en parler en tête à tête”. 16h00. C’est au tour de François-Xavier Bellamy de monter sur scène. “C’est dans les moments difficiles qu’on voit les gens courageux”, concède l’ancien chef de file de la campagne des élections européennes devenu eurodéputé. On est à 15 spectateurs. “La francophonie s’effondre au Parlement européen, nous nous efforçons de faire vivre la langue française au sein de ces instances, nous nous donnons à fond pour essayer d’être à la hauteur de nos engagements de la campagne”, tente l’ancien élu de Versailles. Capture d'écran Compte Twitter Les Républicains François-Xavier Bellamy, député européen, au Conseil national des Républicains Capture d'écran Compte Twitter Les Républicains 16h04. Encore des plaintes sur le fonctionnement interne. ”Je connais quelqu’un qui a payé deux fois sa cotisation et qui n’a pas eu sa carte”, remarque une militante. Encore des problèmes de comptes. “On a déjà répondu sur le fichier”, rétorque Christian Jacob qui promet “un fichier opérationnel à partir du 15 décembre” et qui annonce “On a arrêté le contrat avec le prestataire, ça fait 18 mois que ça ne marche pas... Pour le moment y’a plus rien, je ne suis pas en capacité de vous répondre”. “L’erreur de tous les gauchistes” 16h11. Une question sur la politique familiale. “Elle nous désole depuis sept ans”, répond Annie Genevard. Jacob surenchérit “Quand tout va mal, là où on est capable de se ressourcer c’est la famille. Les attaques incessantes contre la politique familiale, c’est l’erreur de tous les gauchistes, ils nous l’ont tous fait”. 16h16. Encore un problème de logistique. “Nous n’avons plus aucune information, que se passe-t-il ?”, interroge une participante. En fait ce n’était pas une erreur de logistique, c’est juste qu’il n’y a plus d’information. “C’est normal, ne vous inquiétez pas, répond Aurélien Pradié, vous n’êtes pas sortie de la boucle, nous avons mis en pause et ça va durer encore pendant les vacances de Noël, mais ça va reprendre en janvier”. 16h32. L’auteur de la proposition loi adoptée par l’Assemblée nationale pour lutter contre les violences conjugales se félicite de cette avancée. “Nous réussissons lorsque nous nous emparons de sujets qui ne sont pas traditionnels pour notre famille politique, c’est une fierté cette proposition de loi, nous sommes des acteurs et pas des baratineurs”, assène le député Pradié en citant Simone Veil. Il a ensuite traité Marlène Schiappa de “comédienne”. 16h25. On approche de la fin. Il y a une question sur Valérie Pécresse. “Valérie elle n’est plus dans notre famille politique, elle n’est plus adhérente, mais je suis très fier qu’elle soit présidente de la région, elle a été élue sur notre étiquette”, rappelle Jacob. Il assure qu’ils peuvent “se parler”, mais qu’il n’y a pas de sujet d’exclusion puisqu’elle “a quitté le parti, comme Jean-Pierre Raffarin”. 16h39. Jacob dit que les projets aux municipales doivent être locaux. “Je dis toujours, il y a projets municipaux”, même s’il va proposer en janvier “qu’on se mette en boucle sur certains sujets qui sont nos marqueurs de droite”. Il a aussi prévu “le guide du candidat qui arrive”. 16h44. Le Conseil national se conclut par une Marseillaise, sans enthousiasme. Le compteur affiche tout de même 1300 connexions au total. Le rendez-vous est pris pour “janvier/février” et le lancement de la campagne des municipales où la droite a encore quelques chances à faire valoir avec son réseau d’élus locaux et alors que de nombreux candidats LR sont d’ores et déjà soutenus par En Marche. C’est ensuite à la clarté qu’il faudra s’attaquer. À voir également sur Le HuffPost
Contenu principal Recherche Pied de page Prof, surtout, et auteur, un peu Le Dictionerfs du collège commun et des colères universelles de l'Éducation co-écrit, éd. La Ville brûle ; Antigone, éd. La Ville brûle ; Cahier d'activités de grec ancien, éd. Ellipses ; Tour du monde en romans, éd. Ellipses ; Chaplin Non à la délation, Actes Sud Junior ; La Hache, éd. Le Murmure ; Petit Manuel d'éloquence co-écrit, éd. Ellipses Billet de blog 25 juin 2022 Les Dropkick Murphys viennent d’avoir l’excellente idée de revisiter le répertoire de Woody Guthrie 1912-1967. Leur nouvel album sort le 30 septembre. Il s’intitule This machine kills still fascists. Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus. Les Dropkick Murphys viennent d’avoir l’excellente idée de revisiter le répertoire de Woody Guthrie 1912-1967. Leur nouvel album sort le 30 septembre. Il s’intitule This machine kills still fascists. En référence à l'inscription qui figurait sur la guitare de Guthrie This machine kills Still, cet encore » rappelle que la musique adoucit les meurtres métaphoriques. Réduire à néant est un vaste et beau projet tant il est encore fécond le ventre d'où a surgi la bête immonde. La phrase de Brecht est connue et son actualité ne sert de se lamenter, il faut s’indigner à 20-30. En ce temps-là , la dépression n’est pas un moteur d’inspiration cinématographique et nombriliste. La Dépression est tout simplement dans la rue. Elle dort à la belle étoile, au milieu des chiffons et des cartons. On pèse alors le Poor. Et le Poor ne pèse pas bien sommes dans les années 30 et le fascisme ne se contente pas de fâcher Guthrie. Bien plus ! Woody lui déclare la guerre en brandissant sa guitare. Guita-ra-ta-ta ! Une véritable machine-gueule. De quoi crier "Folk you !" en confectionnant un Dust Bowl d’hyperboles. On a tous les droit, même de jeter du sable dans les yeux de l’adversaire. I got to the camp and I learnt how to fight Fascists in daytime, mosquitoes at night »"See what your greed for money has done." Rich man took my home and drove me from my doorAnd I ain't got no home in this world anymore. » Pas question de se prolétaire. Chanter pour se faire entendre, c’est la solution du protestataire. Et pourtant la guitare de Guthrie n’est qu’en bois. Pas un bois qu’on plaque mais un bois qui met le feu. Une guitare que l’argot des musiciens surnomme une hache. Du bois dur qu’on aime en tendre, bois d’où peut sortir tout aussi bien une chanson populaire qui rend fort qu’une chanson qui rend fou quand la guitare se fait banjo contre les barjots capitalistes, Woo'disgusting !Ce poète itinérant n’a rien d’un Woodywood prêcheur. Bien sûr - on est aux États-unis - c'est donc un saint homme l’Holly Woody, mais pas un prêcheur pour deux sous. Prêteur, plutôt. Avocat dans l’âme. Plutôt un porte-voix, un mega-folk. Le sens de la pitié lié au sens de l’amitié. Transfusion de sens permanente pour garder un cœur bien rouge. Toujours à cœur d’être Social au milieu du So sale ambiant. I’m sticking to the union til the day I die». Le blues du syndicat. Question de timing pour participer au meeting. Riot patriote et il vit en Oklahoma et, okie d’occasion, connait la fuite cap sur la Californie. Une vie la route ? Non, une route pleine de périls. Une jungle ambulante. Pourtant c’est bien cette route qu’il ne cesse ensuite d’emprunter, de fouler, en route pour la gloire. Il a trouvé sa voie la route et la vie du avant tout pour le peuple, pour la foule qu’il presse régulièrement les Raisins de sa guitare. Il prend d'ailleurs plaisir à les presser pour les assoiffés d'idéal, les Tom Joad et autres figures dignes de John Steinbeck. En revanche, les John jaunes des piquets de grève ne récoltent que sa colère muette sans sa mort, sa guitare - célèbre Chewing Gun aux mâchoires acérées contre le fascisme - Dylan, Springsteen et bien d’autres l’ont reprise. Et maintenant les Dropkick Murphys. Ses chansons et sa guitare sont donc entre de bonnes ce que ces chansons cherchent encore ce sont des oreilles. Pas des oreilles complaisantes, mais des oreilles qu’ont plaisir. C'est exigeant une chanson populaire. Folk ce qu’il folk."This land is our land" est sa chanson la plus fameuse. D'ailleurs, de ce chanteur, né le 14 juillet, nous pourrions dire This man is our man. This man is made for you and me. 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Opposition à une perquisition, dénonciation d’un procès politique » Jean-Luc Mélenchon n’a de cesse, depuis, de clamer son innocence. par La rédaction de Mediapart Journal Kohlantess » à la prison de Fresnes un dernier tour de piste Le ministre de la justice a rendu publique la synthèse de l’enquête administrative sur l’organisation de cette activité, pendant laquelle deux détenus ont fait du kart et six autres ont plongé dans une piscine. À l’avenir, Éric Dupond-Moretti veut encadrer plus strictement les initiatives des établissements pénitentiaires. Journal — Violences sexuelles Accusation de viol à la CGT Benjamin Amar réintégré après un classement sans suite Le parquet de Paris a classé sans suite la plainte pour viol », torture » et actes de barbarie », déposée par une femme à l’encontre du dirigeant de la CGT. L’organisation syndicale vient de le réintégrer, six mois après avoir suspendu son mandat. par Cécile Hautefeuille, Dan Israel et Khedidja Zerouali La sélection du Club Billet de blog Travail domestique et sphère marchande quelques pistes pour combattre les inégalités de genre [Rediffusion] Autrices de Le Genre du Capital» La découverte, 2020, résultat de 20 ans de recherche, nous avons été auditionnées par l'Assemblée Nationale et Marie-Pierre Rixain, députée, rapporteure sur la proposition de loi visant à accélérer l’égalité économique et professionnelle femmes/hommes. Celle-ci se joue à deux niveaux articulés la sphère professionnelle et la sphère domestique. Pour ne pas se résigner face aux inégalités, nous publions ces idées issues de notre exposé. Billet de blog L'espace public, apanage masculin Comment la nomination des lieux de l'espace public valorise-t-elle les uns pour mieux évincer les unes ? Cette pratique invisibilise les femmes passées, mais signifie également aux femmes vivantes que leur présence est, au mieux, tolérée dans un espace public nommé quasi exclusivement avec des noms d'hommes. Billet de blog Effacement et impunité des violences de genre Notre société se présente volontiers comme égalitariste. Une conviction fondée sur l’idée que toutes les discriminations sexistes sont désormais reconnues et combattues à leur juste mesure. Cette posture d’autosatisfaction de certains discours politiques traduit toutefois un manque de compréhension du phénomène des violences de genre et participe d’un double processus d’effacement et d’impunité. par CETRI - Centre tricontinental Billet d’édition Travail, genre et sociétés » Une revue de référence La revue Travail, genre et sociétés » est une publication pluridisciplinaire et internationale qui se donne pour objet l’étude de la différence des sexes dans le monde du travail et aussi, plus largement, de la place des femmes dans la société.
[Paroles de "La vie d'après"][Couplet 1 Oli]J'écrirai toujours l'amour, tant pis si j'passe pour un utopistePour l'artiste imbécile heureuxPetit, j'voulais être guerrierJ'ai grandi, j'ai compris que ceux qui veulent la paix sont plus courageuxC'est facile de mettre le feu à une forêt, tellement plus facile que de la planterY a mille façons d'avoir raisonLa première c'est d'avouer qu'on s'est trompéPromis, promis, j'suis encore avec vousMême si tu m'vois dans le carré VIP au fond de la boîteJ'ai encore en tête vos voix quand je dis "nous", j'ai encore le blues le dimanche devant mes pâtesC'est faux quand j'dis qu'tout le monde peut réussir'Fin c'est vrai, mais c'est faux, comme dire que le cancer se soigneMais moi, je retiens l'meilleur et j'emmerde le pireOuais, y en a plein qui perdent, mais y en a plein qui gagnentC'est ça qu'j'voulais dire aussiRéussir, c'est quoi ?Remplir des salles et pas voir grandir sa filleJ'ai plein d'potes qui rêvent pas de l'OlympiaMais d'un joli chez soi et d'un repas en familleÇa m'fait plus vraiment rêver d'être le plus coolLes plus stylés d'mon lycée se sont fondus dans la fouleÇa m'fait plus vraiment peur d'avoir tortY a des médailles pour tout le monde, on est plein à être les plus fortsJ'ai l'âge où on écrit à son pote après une engueuladeOù plein d'endroits d'la ville sont des souvenirs quand j'm'y baladeLes flammes de ma jeunesse, je me réchauffe avec ces braisesJ'ai l'âge où on peut recroiser une ex sans être mal à l'aiseTrop facile d'abandonner, c'est pas une course mais une randonnéeLes erreurs qu'on digère deviennent des conseils à donnerJ'ai confiance à la vie, je pleure à bras ouvertsEn fait, j'ai d'la peine pour ceux qui n'ont pas souffertAllez viens, on continue d'croire qu'on peut faire mieuxÊtre humain sans être humain, ça devient dangereuxLes tricheurs, c'est toujours pas nousOn va vivre si fort qu'on va rendre tous les morts jalouxT'as reconnu la voix, tellement gentil qu'on m'comprend pasPendant la pause, je rappais dans la cave pour jamais oublier qu'on vient d'en basJ'ai un mental monumental, j'viens d'Toulouse pas d'AtlantaEt quand ma vie est bancale mes punchlines deviennent des mantrasMa vie un fantasme parce que j'ai su garder mon sang froidDeviens le patron si on te répète que tu n'as pas la gueule de l'emploiJ'envoie le feu, la foi, que j'vous ai prouvé tant d'foisSans quoi tu ne pourras jamais combattre tes angoisses, rappel de constat de ce combatPour mes semblables, ceux qui voient mes contrastesCeux qui boivent mes larmes, qui m'accompagnent sans demander pourquoiEt pour tous les gens comme toiEt pour tous les gens comme moiÊtre vieux, c'est le privilège de voir les autres grandirÊtre seul, c'est la chance de pouvoir accueillirÊtre mal, c'est comprendre qu'on peut aller mieuxÊtre différent, c'est un peu des trois à la foisDifférent avec Flo, j'ai eu du mal à l'encaisserOn s'est insultés, presque détestésTrop d'fierté pour revenir sur nos fautesMais nos deux visions d'la vie ont fait qu'on a changé la nôtreTu l'entends ? Ma rage, le son de mes tripesComment j'ai pu douter ? Bien sûr que j'le mérite !Bien sûr y a des avis, des piques et des critiquesMais j'peux plus l'entendre, c'est recouvert par le bruit de mon publicLes chanteurs que j'écoute me disent à quel point ils sont tristesJ'ai l'impression d'être trop heureux pour être un vrai artisteDans l'scénario d'la vie, je meurs à quelle saison ?Est-ce qu'il y a un fond vert tout au bout de l'horizon ?J'veux encore du trône, tourbillon d'euphorieEncore être la bande son de vos viesEncore renaître dans la puissance de vos crisEncore des rires, encore des grandes mélodiesEncore du stress, parce qu'il m'pousse à tout donnerEncore du temps parce qu'il m'sert à pardonnerEncore me brûler dans la chaleur de vos corpsEncore tous vous entendre en demander encore[Couplet 2 Bigflo]Dis à ton pote qui aime pas Bigflo et Oli que c'est pas graveQu'en vrai, il vaut mieux même pas qu'il écouteJ'en ai marre d'me battre maintenant chacun sa routeJ'arrête de vouloir plaire à tout le monde coûte que coûteEt je veux plus les faire taire, je vais le faire c'est toutJ'enterre mes doutes, visionnaires on s'sert les coudesOn va l'faire entre nous en catiminiÀ 40 mille dans la plus grande salle de ParisEt j'veux plus prouverBientôt 30 ans, j'crois que j'me suis trouvéJ'aurais pu me noyer dans un cauchemar, partir autre part, j'attrape Oli comme une bouéeEn fait, j'suis comme une ambulance qui crée un accidentJ'suis à la fois le problème et la solutionJ'croyais trouver toutes les réponses en grandissantÉvidemment, j'ai trouvé encore plus de questionsQuatrième album, encore plus de pressionÇa y est, j'ai retrouvé le feu et la passionAvant j'voyais tout ça comme une sorte de missionMais p't-être qu'au fond, le rap c'est qu'une mauvaise addictionEt j'avoue que tout ça m'a un peu uséJ'pensais pas que c'serait si dur, tu saisToujours attendu, tout l'temps jugéFinalement les problèmes s'arrêtent pas avec le succèsMais j'veux plus me plaindre de ma vie d'artiste, de jouer l'enfant pourri gâtéDe chanter mes regrets de la vie d'avant, en profitant de ma vie d'aprèsEt j'crois plus aux gentils contre les méchantsJ'ai changé d'avis sur pleins de choses récemmentJ'crois plus qu'il y ait des forts ou des faiblesJ'crois qu'on a tous les mêmes problèmes mais qu'on les vit différemmentEh ouais, c'est moi l'cliché du rappeur conscientJ'balance des vérités en fronçant les sourcilsMais j'm'en fous d'être clichéSi c'est pour aider tous ceux qui m'écoutent à supporter leurs soucisEh ouais, c'est moi l'cliché du rappeur conscientChaque mot est choisi avec prudenceParce que si avant j'rappais la Jeunesse influençable »Aujourd'hui, c'est en partie moi qui l'influenceEt j'vois les p'tites sœurs et le message qu'elles nous adressentMais comme un connard j'fais que pointer leur maladresseP't-être parce que j'ai peur de voir la vérité en faceOu que mon égo masculin voit ça comme une menaceC'est pas non plus facile pour les p'tits frèresDepuis tout petit on leur répète qu'il faut être les plus fortsLes plus forts au foot, les plus forts au lit, la plus grosse encoreLes plus forts des plus forts des plus fortsJ'voulais dire que j'suis sincèrement désoléJ'crois que j'serai pas le sauveur que vous attendiezIls voudraient que j'sois un exemple pour ma générationMais j'veux plus qu'on me prenne pour un donneur de leçonJ'peux pas faire grand-chose à part des chansonsT'accompagner pendant tes crises d'angoisseChante avec moi qu'le monde il est dégueulasseEn vrai y a que ça à faire, en attendant que ça passe OuiAlors oui, c'est du rap de fragile, pour les gens tristesDu rap pour ceux qui pleurent, pour les trop sensibles, pour les gros cœursOn prend nos émotions pour alimenter l'moteurEt moi aussi j'ai flirté avec les profondeurs abyssalesPutain, j'ai la boule au ventre quand j'écris çaAprès notre passage, qu'est-ce qu'il restera ?J'suis pétrifié à l'idée que tout s'arrête là Mais ça peut pas s'arrêter là J'ai envie de tout comme si j'venais de sortir du comaEt je vais vivre à fond Vivre à fond, tellement qu'en partantJ'deviendrai une supernovaJ'veux encore l'écume de la mer sous mes pieds nusEt questionner l'univers sous la pleine luneJ'apprends, j'essaie, j'exploreJ'veux encore de l'amour qui fait peur tellement il est fortJ'ai parcouru les vallées du mal-être à m'en rendre maladeAvaler des médicaments pour ramener le calme comme un toxicomaneEt j'crois que j'étais en panne mais les âmes ne se réparent pas comme un programmeY a que le temps qui soigneC'est l'histoire de deux frères, c'est le retourL'amour gagne toujours, on continue cette lutteDe toute façon, dis-moi franchementQui écoute encore des morceaux de rap sans refrain de 7 minutes ?[Outro Ami de Bigflo et Oli]Écoutez-moi les frérotsVous avez intérêt à nous pondre un gros albumDe tout niquer là et c'est le cœur qui parleY a pas de, y a pas, il faut pas hésiter là Au bout d'un moment faut pas hésiterPondez-moi un gros truc, pondez-nous un gros truc
et ça continue encore et encore parole